Chants et paroles du Chindi

Chindi: mot navajo désignant le fantôme.
Les navajos ne croient pas à un au-delà âpres la mort.
Au mieux ils trouvent le néant. Au pire, la partie malsaine et
Malfaisante de l'individu revient hanter les vivantes
et leur apporter la maladie et la mort

idiona idionb

 

arbol
IDIOME1

Hace algunos dias, discutiendo con Michelle
del mundo maya;ella me describió las sensaciones
de su memoria corporal, del gran bienestar que le
ofrecía la selva del Peten.
Una comunión verde, húmeda, tibia, entre los canto
perpetuos de las cigarras, de las mariposas; las voces de los mil
pajaros, los gritos de araguatos, el ruido de las aguas
y zumbido mosquitos.
Sin describir el mundo de xibalba (las horas nocturnas),
territorio de balam y zots o los instantes del
intercabio de luces y su silencio inmenso.
lugar en que la frontera entre los suenos y la realidad
apenas existe.
Esta memoria del cuerpo, que para mi, pertenecía a otra vida.
No tiene nada ver con esa otra memoria que almaceno en libros, cuadernos,
fotos, películas, ksets, cds, o bits informaticos.

los recuerdos de Michelle despertaron, a Chok Uk gallina ese otro yo, que esta en
armonía con las líneas del mundo.

Este tipo de trance ecolo- mágico, no es exclusivo de las poblaciones indigenas de la selva, mismo si es el mas antiguo; el mismo tipo de trance mágico lo encontré en las montanas y desiertos de México, entre tarahumaras huicholes, tzltales, etc...
La expresión de esta relación mística entre el hombre y su mundo puede reducirce en
las palabras de uno de los últimos chamanes lacandones:


"En la selva se encuentran nuestros dioses, están nuestros muertos, viven las plantas que nos curan, el agua y los animales que los alimentan, por eso ahí oramos y cantamos todos los días."
Chan´Kin Viejo

arbol
idiome2

Il a quelques jours en discutant avec Michelle,
Du monde maya, elle me a décrit les sensations, de sa mémoire corporal, du grand bien être offert Par la jungle du Petén.
Une communion vert, humide, tiède, entre les chants
Perpétuelles des cigales, des papillons; les voies des mil oiseaux, les cris des singes ( saraguatos), les bruits des eaux et le sons des mosquitos.
Sans décrire le monde de xibalba (les heures nocturnes), territoire de balam et zots o les instantes du interaction des lumières el son silence immense.
lieu dans le quel, la frontière entre les rêves et la réalité sont presque
existâtes.
Cet mémoire du corps, que pour moi, appartenue a outra vi.
Il a rien a voir avec l'autre mémoire que nous groupons en libres, cahiers,
photos,films, ksets, cds, o bits informatiques.

les souvenirs de Michelle on réveille, a Chok Uk gallinac se autre moi, qui est en
harmonia avec les lianes du monde.

Ce typo de tance écolo- magico, n'est exclusive des populations indigènes de la jungle, même si c'es le plus ancien; le meme type de trance magico-écologique nous
le retrouvons encore dans les montagnes et déserts de Mexico, parmi tarahumaras huicholes, tzltales, etc...
L'expression de ce relation mystique entre l'home et son monde pue se réduire dans les paroles d'un des derniers chamans chez les lacandons:


Dans la foret se trouvent mous dieux , reposent nôtres morts,
vivent les plantas que nos soignait , l'eau et les animaux
que nous alimentant, c'est pour sa que la nous prions et chantons tous les jours.
Chan´Kin Viejo